André Goldberg
Bruxelles
André Goldberg (Ixelles, 1963) se consacre depuis plus de 30 ans à une intense activité dans le domaine des arts visuels en tant que photographe, cinéaste et artiste vidéaste, mais c’est la musique qui fut sa première passion, et il ne l’a jamais abandonné.
Par le hasard des rencontres sur les plages du Sud de la France, c’est à l’âge de 16 ans qu’il apprend ses premiers accords de guitare. De retour à Bruxelles, il s’achète une guitare et une basse électrique et passe ses journées à reproduire les musiques qu’il aime dans sa chambre d’adolescent, et fonde avec des camarades de classe son premier groupe de rock « The Asthmatics », qui ne quittera jamais le stade du local de répétition.
A l’été 1982, il a bientôt 19 ans et intègre en tant que bassiste-chanteur le groupe de Heavy Metal « Ritual », créé par le guitariste Didier Retelet.
Un ans plus tard, ils interprèteront leur répertoire sur les scènes bruxelloises et enregistreront quelques morceaux en studio pour une participation à « New performances for soundproof rooms », un disque 33 tours comportant une compilation de groupes belges de l’époque, de tous genres musicaux, accompagné d’un mini-festival.
En 1984, il quitte le groupe pour se consacrer à ses études en Photographie, sa nouvelle passion, tout en continuant à gratouiller sa guitare.
En 1999, il s’inscrit à la formation musicale pour adulte à l’Académie Communale de Musique de Forest et obtient un Prix d’excellence pour son parcours final en Solfège, trois ans plus tard. Entre temps, il suit les cours de piano avec Madame Irène Bugod, qu’il abandonne en 2003, faute de temps.
En mai 2002, il participe à la Zinneke Parade, avec un projet de fanfare de musique Klezmer, toujours en tant que guitariste. Un projet qu’il avait proposé en collaboration avec l’accordéoniste André Reinitz, un des spécialistes du genre Klezmer en Belgique. Ils ont ainsi défilé, à une douzaine de musiciens, dans les rues de Bruxelles dans un projet en collaboration avec l’Espace Catastrophe à Saint-Gilles. Avec dans la foulée quelques prestations publiques dans les mois qui ont suivi.
A l’automne 2015, il continue à gratouiller sa guitare et à improviser des mélodies dans son salon, lorsque son ami, Daniel Vander Gucht, lui envoie des textes qu’il a écrit durant l’été. L’un d’eux, Vague à l’âme, colle parfaitement à une de ses mélodies, qu’il enregistre chez un de mes amis musiciens, Marc Van Eyck (ex-Studio Pagol). Suivent très vite la composition d’autres chansons sur les textes de Daniel Vander Gucht, puis commence aussi pour sa part à écrire ses propres textes et à collaborer avec d’autres auteurs et d’autres compositeurs.
A ce jour il rassemblé une collection d’une vingtaine de chansons en français.
En novembre 2019, à l’occasion de la sortie des livres de textes de Daniel Vander Gucht, il interprète quelques-unes des chansons composées sur ses textes, en public, seul à la guitare, pour le finissage de l’exposition à la galerie de la librairie Peinture fraîche des œuvres des artistes Pascal Courcelles, Damien Delepeleire et Xavier Noiret-Thomé illustrant ses ouvrages.
En décembre de la même année, les œuvres sont exposées à la galerie des éditions de la lettre volée. Nouvelle invitation à interpréter les chansons. Pour l’occasion avec le guitariste Alain Lapiower (ex-Red&Black) dans une formule semi-acoustique.
Aujourd’hui, il a rassemblé des musiciens de tous horizons et monte un projet personnel sous le pseudonyme Noir Indigo, avec un répertoire de chansons en français alliant l’élégance pop à l’énergie rock.
Noir Indigo’s tracks
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