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(Texte Français et Google traduction)
LE CRI DES ECRITS
A l’encre bleue indélébile,
Marqués au feu des mots fragiles,
Je vois les pleins et les déliés,
Me dire combien tu m’as aimé.
Et je retrace sur chaque phrase,
Les « je t’embrasse » dans nos extases,
Puis les formules particulières,
En majuscule pour mieux se plaire.
Mais les ratures, les gribouillis,
Mettent en bordure les mots d’oubli.
Toutes ces lettres, nos mots d’amour,
Les écrits restent car chaque jour,
Les pages entières à te relire,
Sortent l’enfer que je respire…
C’est le cri des écrits.
Si tant de prose, de phrases folles,
Toutes ces choses qui nous envolent,
Cette dernière de la rupture,
Me met à terre sous l’écriture.
Une mise à fin de l’éternel
Et du parfum d’une vie belle.
Alors je lis les larmes aux yeux,
Quand tu écris qu’entre nous deux,
C’est plus la peine de continuer,
Car tes « je t’aime » s’en sont allés.
Toutes ces lettres, nos mots d’amour,
Les écrits restent car chaque jour,
Les pages entières à te relire,
Me donnent l’enfer que je respire…
C’est le cri des écrits.
Toutes ces lettres, nos mots d’amour,
Les écrits restent car chaque jour,
Les pages entières à te relire,
Me donnent l’enfer que je respire…
C’est le cri des écrits.
THE CRY OF WRITINGS
In indelible blue ink,
Marked in the fire of fragile words,
I see ups and downs,
Tell me how much you loved me.
And I retrace on each sentence,
The "I kiss you" in our ecstasies,
Then the particular formulas,
Capitalized for convenience.
But the erasures, the scribbles,
Border the words of oblivion.
All these letters, our words of love,
The writings remain because every day,
Whole pages to read to you,
Come out the hell I breathe...
It is the cry of the writings.
If so much prose, crazy phrases,
All those things that fly away from us,
This last of the break,
Brings me to the ground under the writing.
An end to the eternal
And the scent of a beautiful life.
So I read with tears in my eyes,
When you write that between the two of us,
It's no longer worth continuing,
Because your "I love you" are gone.
All these letters, our words of love,
The writings remain because every day,
Whole pages to read to you,
Give me the hell I breathe...
It is the cry of the writings.
All these letters, our words of love,
The writings remain because every day,
Whole pages to read to you,
Give me the hell I breathe...
It is the cry of the writings.
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