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Texte de Kaluk
La suite sur https://mortel.bandcamp.com/
Je te le dis en préambule, Oui, toi aussi tu as le droit,
D’enfin pouvoir coincer la bulle, Et ne rien, rien faire de tes dix doigts.
Face au regain de canicules, Ravageant l’hémisphère nord,
A toi les siestes majuscules, Des partisans du moindre effort.
Je te le dis en préambule, Oui, toi aussi tu as le droit,
D’enfin pouvoir coincer ta bulle, Et ne rien faire de tes dix doigts.
Si t’as la flemme, Pas de problème, Ça ne fait peur, Qu’aux exploiteurs.
Ce qu’il te manque, C’est une bonne planque, Où l’on consente, à ta détente !
TA DE-TEN-TE !...
Depuis la réforme des retraites, Rapetissant de jour en jour,
Dis-toi bien, qu’en tant que poète, Tu ne vas pas toucher bien lourd.
Vas pas bosser comme une bête, Car trop de labeur te tuera,
En refusant qu’on te maltraite, Laisses respirer tes chakras !
Après des nuits d’amours torrides, Où t‘as brillé, tel un héros !
Quand tu n’as plus rien de rigide, Tu dois exiger du repos !
C’est pas la peine que tu t’échines, Pour satisfaire les attentes,
Si on a créé des machines, c'est par souci de ta détente !
TA DE-TEN-TE !...
Et dans certains cas, la détente, Si la vie t’a vraiment déçue,
Tu peux, toute affaire cessante. Finir, en appuyant dessus !
- Genre
- Alternative Rock