Cigarette [MAQUETTE] by LVPIN published on 2021-10-14T08:47:37Z Paroles : [prod] : heydium Un parfum subtiles T'as fait comme si de rien n'était, Les sentiments veulent me punir et tu me portais des faux-baisers Qu'on échangeait pour se réchauffer, Rien à foutre de tes avances, Pas de rêves dans la réalité car tes excuses sont évidentes, Je regarde tomber le soleil, Sans compagnie qui me transperce Voir mon cœur exploser j’poserai ma nuque contre le ciel. On existe au regard des autres, mais qu'est-ce qu'on fait quand les autres sont morts, De chagrins et se dévorent sur les terrasses maintenant pleines Et rattrape les histoires qui n'en valent pas la peine. Tente de passer l'amertume de ton existence désastreuse, Parce que maintenant il est temps d’accueillir avec plaisir De tout ces contes oubliés les sirènes d'Homère qu'applaudissent. À ta santé, toi la fille oubliée, Qu'a traversé la rue pour retrouver ses amis défoncés Parce que t'essaieras toujours de passer à autre chose. Va rejoindre Ulysse perdu dans la mer de sa seule vraie psychose Les maux dans les yeux, Ils se s'embrassent et se détestent Demain ça ira mieux, juste un cachet et quelques cigarettes, Des mots dans les cheveux Ils s'apaisent et se transpercent Demain ça s'ra pas mieux, un revolver et juste de la tristesse. Même un lendemain d'hiver, dans ton cœur y'aura du sable, Parce que c'est pas le genre de héros à avouer l'inavouable. Mais c'est vous qui me dégoûtez par votre espèce d'impuissance La misère que vous clairsemez sur ces province brûlantes Des bas instincts, primitifs, qu'on vend sur vos écrans, Et assécher ce qu'il peut rester sur vos compte en banque. ton crâne est bien trop grand pour tes petites émotions Allez occire vos souvenirs avant d'achever cette compassion. T'as empathie pour des personnes qui n'avaient qu'un cœur déjà pris Ils ont nourris ta crédulité au sang de ton propre esprit Et moi alors qu'est-ce que j'y gagne à part des messages vides Oubliés parce qu'il faut redevenir des êtres distant et placides! Ce monde est bien trop vieux, qu'Atlas voudrait bien le détruire Toutes ces amours mortes auraient raison de sa fatigue. À ta vie perdu ! Toi le poète dément Qu'a relu quinze mille fois les Contemplations et ses Châtiments. T'as rien à craindre quand la Lune sanglante s'approche de ta nuque, Au dessus c'est une épée de Damoclès et celle d'un eunuque. Genre Hip-hop & Rap