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Texte Français et Google traduction
Je continue à me mentir, j’ai trop la haine de ne rien dire
Les « Robinson » de l’aventure me font la gueule par être peu sûrs.
De trop compter les potes qui tombent, ma main qui lâche casse la ronde
D’une ribambelle aux fières allures, mais quand c’est d’trop, y’a rien qui dure.
En naviguant dans les eaux troubles, l’algue marine épie mon double
L’équivoque de mes tourbillons, dans l’éphémère n’sent pas bien bon.
J’finirai ma vie au cachot, on vit sale derrière les barreaux
A givrer des nuits d’insomnies, çà fait très mal à c’qu’on m’a dit.
Mais à y regarder de près, sans même le faire exprès
Du niveau de la mer, c’est fou, ce qu’on voit clair.
Les stigmates d’un mauvais chemin au visage pâle et trop repeint,
Peuvent me conduire au bas d’l’autel de l’amertume pour le mortel.
A me la faire cul et chemise,la partie ne s’ra jamais remise
Pour tous les clous que j’y enfonce, il n’y aura pas cinquante réponses.
Trop lourd le poids de mes fumées, à faire le speed pour exister
Tous mes cadastres et mauvais plans, me mettront un d’ces quatre dedans.
A tout à l’heure, à toute allure, j’me barre pour mieux faire le mur
Quand j’me la joue à la dégonfle c’est pas ma vérité qui pionce.
Mais à y regarder de près, sans même le faire exprès
Du niveau de la mer, c’est fou, ce qu’on voit clair.
Des p’t-être bien qu’oui peut-être bien qu’non, y’a même des jours j’sais plus mon nom
J’bègue d’avoir une idendité, j’suis pourtant pas un sans-papiers.
A m’trimballer sur terrains vagues, dans mes amours, je cache les bagues
D’fidélité qu’on s’passe aux doigts, y’a bien une fois où çà s’saura.
J’suis pas du genre à suer l’maillot, mais à m’tirer aux moindres maux
Dans les effets ou mes annonces, j’me prends pour l’arc qui fait l’triomphe.
La réclusion naît par nature, je moque les doutes de l’envergure
A n’pas poser mes cartes sur table, y’a bien un temps où j’s’rai minable.
Mais à y regarder de près, sans même le faire exprès
Du niveau de la mer, c’est fou, ce qu’on voit clair.
Faudra changer mon écriture et les photos de ma brochure
Mettre dans le coin d’un vieux placard les apparences qui me font, car
J’finirai ma vie au cachot, de faire le zouave et jouer faux
Il fait si bon et chaud dehors, que çà s’ra con d’changer l’décor.
Car à y regarder de près, sans même le faire exprès
Du niveau de la mer, c’est fou, ce qu’on voit clair.
WATCH OUT
I continue to lie to myself, I have too much hatred to say nothing
The "Robinson" of the adventure make me mouth by being unsure.
To count too much the falling fellows, my loose hand breaks the round
Of a gang with the proud gaits, but when it is too much, there is nothing that lasts.
While navigating in troubled waters, seaweed spies my double
The equivocation of my whirlwinds in the ephemeral are not very good.
I'll end my life in prison, we live dirty behind bars
Frosting nights of insomnia, it hurts a lot to me.
But to look closely, without even doing it on purpose
From the sea level, it's crazy, what we see clearly.
The stigmata of a bad path with a pale face and too much repainting,
Can lead me down the altar of bitterness to the mortal.
To make me ass and shirt, the game will never be reset
For all the nails I put in, there will not be fifty answers.
Too heavy the weight of my smoke, to speed to exist
All my cadastres and bad plans, will put one of these four in me.
A moment ago, at full speed, I bar to better make the wall
When I play it deflates it is not my truth that pionce.
R.
Well, maybe yes, but no, there's even days I do not know my name anymore
I think I have an identity, but I am not an undocumented one.
To put me on vague grounds, in my loves, I hide the rings
Fidelity that passes to the fingers, there's a good time where it will be.
- Genre
- Chanson Française